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Comment ne pas suivre le plan quand tu es une femme zèbre ?

Femme zèbre : comment ne pas suivre un plan ?

Pourquoi suivre un plan est difficile pour une femme zèbre ?

Je n’aime pas les plans qu’il faut suivre à la lettre. Ou plutôt, je n’arrive pas à les suivre. Dès que j’ai un plan bien ficelé, bien bordé, j’ai une folle envie de le dépasser, de faire des pas de côté , de rajouter quelque chose ou d’enlever.

Je m’ennuie à suivre un plan. Ça me prive de ma créativité. En tout cas, c’est ce que je ressens au fond de moi. Même si c’est moi-même qui ai pondu ce foutu plan !

Par exemple, on me dit : il faut suivre un plan de publications sur Facebook. Une recette savante faite de pourcentages, pour construire une image. Impossible. Je suis dans le flow, je publie ce que je pense, ce que j’ai envie de partager. Sinon, ce n’est plus moi, et ce n’est plus une image de moi mais un plat tout prêt, décongelé à la demande.

Avant, j’essayais. Je m’accrochais. Je tenais au plan au prix des efforts surhumains. Pour moi. Je me disais : il faut le suivre, comme ça tu avances de façon ordonnée et constante. Je patinais, je perdais mon énergie, je commençais à me haïr car selon moi, rien n’avançait. Et je n’arrivais plus à apprécier le processus.

S’autoriser à zébrer

Je m’autorise à avancer de façon impulsive. Si je ressens une envie très forte au fond de moi, une envie de faire quelque chose, j’y vais. A ce moment-là, j’ai une énergie folle pour réussir. Et j’avance d’un bond.

D’accord, ce n’est pas constant mais c’est tellement excitant ! C’est comme monter sur une haute colline. On peut y aller doucement mais sûrement, en respirant bien fort, en regardant par terre, et on est sûr de monter. Moi, je cours. Je prends mon élan et je me donne à fond. J’atteins le sommet dans la joie. Je suis épuisée après, certes. Mais contente.

Femme zèbre : est-ce que je suis bizarre ?

J’ai donc longuement réfléchi. Est-ce que c’est bien ou c’est mal d’avancer par bonds ? Est-ce que c’est normal de ressentir les baisses de régime, de passer des jours entiers sans avancer du tout ? Et à d’autres moments, avancer comme un bulldozer ?

J’ai trouvé ma réponse : c’est une façon de faire. Elle est à moi. Et pour moi, c’est la seule efficace et qui me procure le bonheur d’être en chemin.

J’ai même développé une technique que j’appelle « Progression inspirée». Elle est constituée de 3 étapes.

Et toi, comment avances-tu ? Est-ce que tu es comme moi ? Ou peut-être au contraire, tu es très forte dans la planification ?

Partage tes idées et techniques dans les commentaires.

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